Manifestation 31 janvier : cars financés et organisés par la CGT/CFDT ONERA + Argumentaire UGICT-CGT

27 Janvier 2023

Contre la réforme des retraites : RDV 12h45 le 31 janvier

CARS FINANCÉS ET ORGANISÉS PAR la CGT et la CFDT ( A/R PALAISEAU & CHATILLON )

Départs 12h45 ONERA Palaiseau & 13h ONERA Châtillon : Réservez vite votre car ici !

Contre la réforme des retraites : RDV 12h45 le 31 janvier

La CFDT et la CGT de l’ONERA appellent tous les salariés à participer massivement aux rassemblements du 31 janvier.

La CGT et la CFDT mettent à disposition 2 cars (financés à 100 % par les syndicats) pour transporter les personnes qui le souhaitent (1 à Palaiseau et 1 à Chatillon) : départ prévu à 13h (retour sur site en fin de manifestation vers 19h). Le nombre de places est limité, réservez rapidement : https://doonera.onera.fr/studs.php?poll=QmBNJGpwSY2lUIbP

C’est par une mobilisation massive que cette réforme injuste et brutale peut-être repoussée.

Mobilisons-nous !

Départs 13h ONERA Palaiseau & Châtillon : Réservez vite votre car ici

Paris (CGT/CFDT) : départ manif 14h00 place d’Italie : RdV CGT-ONERA : Angle place Italie / Bd Vincent Auriol – derrière le ballon CGT UD 91

(conservez le lien d’édition avec envoi à votre adresse mail renseignée, pour modifier au cas où)

Toulouse (CGT/CFDT/CFE-CGC) : RdV ONERA à 9h15 devant le CSE – départ manif 10h00 à St Cyprien

Le Fauga-Mauzac (CGT) : RdV ONERA à 8h00 devant le poste de garde / départ 8h30 pour manif à St Cyprien / Autre manif 15h à St Gaudens

* départs aussi possible par autocars depuis l’Union Locale CGT de Massy : ulcgtmassy@wanadoo.fr ou CEA Saclay : https://saclay.cgtcea.org/manifestation-31-janvier-inscription-aux-cars-affretes-par-la-cgt

 

Le tract intersyndical d’appel à la grève et à la manifestation du 31 janvier : CP intersyndical 19 janvier 2023

Le 31 janvier, appel intersyndical à une nouvelle journée de grèves et de manifestations contre une énième réforme inique des retraites.

 

La CGT de l’ONERA appelle à la grève (1h minimum) et aux manifestations du 31 janvier, partout sur le territoire.

 

Le tract UGICT-CGT : 20230127-TRACT_RETRAITES-Appel-31-janvier

Droit de grève mode d’emploi : https://www.cgt.fr/dossiers/droit-de-greve-mode-demploi

Le tract CGT-ONERA du 13 janvier : https://onera.reference-syndicale.fr/2023/01/13/retraites-agir-vite-et-fort-des-le-19-janvier-appel-intersyndical-onera/

Contenus en ligne

TOUS ENSEMBLE LE 31 JANVIER POUR DIRE NON A LA REFORME DES RETRAITES AVEC DEPART OBLIGATOIRE A 64 ANS POUR TOUS !

Nous étions 2 millions le 19 janvier. Nous pouvons être 4 millions le 31 janvier, pour cela il faut que chaque personne présente en manifestation ramène une autre personne avec d’elle. Voici 4 arguments à tester auprès de vos collègues et ami·es.

1. La réforme est injuste et elle va tou·tes nous concerner

L’âge légal de départ à la retraite sera repoussé de deux ans et passera de 62 à 64 ans. La durée de cotisation sera aussi allongée pour atteindre très rapidement 43 ans au lieu de 42 aujourd’hui. Au delà de devoir travailler 2 ans de plus, le blocage des ressources allouées aux dépenses de retraite, alors que le nombre de retraités augmente,  va conduire à la baisse du niveau des pensions.

Pour mesurer les effets de la réforme sur notre situation, on peut tester ce simulateur.

L’extinction des régimes spéciaux, avec  la clause dites « clause du grand-père », c’est-à-dire qu’elle s’appliquerait  uniquement aux nouveaux·elles embauché·es, impactera tout le monde à terme .

L’équilibre financier de ces régimes serait mis en danger puisqu’il y aurait de moins en moins de cotisants. Sans compter les effets désastreux que génèrent la cohabitation de salariés aux droits et  au devoirs différents dans une même entreprise  et dont ont a constater les effets, chez France Télécom par exemple. Il y aurait deux type de salariés dans une même entreprise avec des droits et des obligations différents.

D’autre part les mesures d’âge de cette nouvelle réforme, concernera tout les salariés quelque soit leur régime.

En d’autre termes tout le monde devra travailler 2 ans de plus !

2. On n’est pas seul·es à se mobiliser et on peut être aidé·es

L’opposition à cette réforme est massive, les sondages successifs le montrent. Cette opposition grandit à mesure que la mobilisation s’installe.

Les syndicats de salarié·es sont réunis pour la première fois depuis 12 ans et publient, depuis le mois d’octobre 2022, des communiqués communs de refus de la réforme et d’appel à la mobilisation.

Ces syndicats organisent les grèves et les manifestations.

Même isolé·e sur son lieu de travail on peut recevoir de l’aide de la CGT pour se déclarer gréviste et, dans les manifestations, on est toujours bienvenu·e dans les cortèges CGT qui sont sécurisés et revendicatifs.

Retrouvez :

3. Des cadres et professions intermédiaires se mobilisent

Le 19 janvier 2023 de nombreux·ses cadres et professions intermédiaires étaient en grève et en manifestation :

  • Plus de 60 % des salarié·es du secteur de l’énergie étaient en grève, dont beaucoup de cadres et de jeunes diplômé·es
  • 1/3 des cadres et plus de la moitié des agent·es de maîtrise de la SNCF étaient en grève
  • Environ 20 % des personnels de Météo France, de l’IGN, et du Cerema étaient en grève
  • Plus de 15 % des salarié·es d’Orange et plus de 25 % de celles et ceux de La Poste étaient en grève
  • Dans la fonction publique les grévistes étaient très nombreux·ses parmi les enseignant·es, mais aussi chez les cadres des collectivités locales, ainsi 12 % des cadres supérieur·es de la Ville de Paris étaient déclaré·es grévistes
  • Dans la santé, les hôpitaux ont assigné de très nombreux·ses soignant·es, les empêchant de rejoindre la grève et les manifestations. Or 70 % des professions intermédiaires du secteur sanitaire et social (infirmières, assistantes sociales) réclament le retour de la retraite à 60 ans (https://ugictcgt.fr/barometretechs2022-2/)
  • De nombreux·ses ingénieur·es et cadres étaient en grève dans la métallurgie, chez Nokia, chez Thalès
  • Des salarié·es des cabinets de conseil (Capgemini, CGI, Atos…) étaient visibles dans les cortèges, tout comme dans le secteur de la banque-assurance également très mobilisé pour la hausse des salaires ces dernières semaines (Covéa, LCL…).

Face à cette déferlante de grévistes chez les cadres et professions intermédiaires les directions des entreprises ont tenté la manipulation et l’intimidation, mais nous l’avons refusée pour exercer notre droit constitutionnel de faire grève :

  • À la SNCF la direction a tenté d’utiliser l’encadrement intermédiaire pour convaincre de l’utilité de la réforme, mais c’était sans compter sur leur refus de servir de faire-valoir dans cet exercice de communication [en savoir plus]
  • À la Poste : l’entreprise a menacé les cadres de leur retirer leurs jours de congés faisant suite à la grève, mais ils et elles se sont quand même déclaré·es grévistes et ont fait respecter leurs droits !

4. La mobilisation a déjà fait reculer les gouvernements !

En 1995 (réforme Juppé), en 2006 (contrat première embauche) et en 2020 (retraites à points) les réformes ont été abandonnées suite à la mobilisation alors que les gouvernements avaient à chaque fois martelé qu’ils ne reculeraient pas. En 2006, la loi avait même été adoptée et c’est le président de la République qui, alors que la contestation ne faiblissait pas, a annoncé ne pas promulguer la loi. En 2020, face à la contestation, le gouvernement avait été contraint de recourir au 49-3 pour faire adopter sa réforme, mais a été obligé d’y renoncer ensuite face à la large opposition et à la crise sanitaire COVID.

En 2023, alors que le gouvernement tablait sur la division des organisations syndicales et sur la résignation des salarié·es, la colère grandissante sur les questions salariales les a contraints à repousser la présentation de la réforme. La mobilisation massive du 19 janvier a surpris les ministres qui ont été contraint·es de reconnaître que la résignation n’était pas au rendez-vous, bien au contraire. Ce sont toutes les catégories professionnelles, tous les âges, tous les secteurs qui étaient mobilisés dans la grève et dans la rue.

Amplifions la mobilisation et convainquons nos collègues et ami·es de nous rejoindre le 31 janvier 2023 en grève et en manifestation ! 

Tant qu’il y a de la lutte, il y a de l’espoir !

 

 La fatalité n’existe pas, rejoignez la CGT maintenant et nous serons plus forts !

Votre implication auprès de la CGT est essentielle pour la qualité de vos conditions de travail, rejoignez un syndicat à votre écoute. Adhérez à la CGT !

La CGT, ce sont avant tout des salarié(e)s de l’ONERA qui s’engagent, des élu(e)s, des militant(e)s, à votre écoute pour porter des revendications dans l’intérêt de tout le personnel.

En 2023, j’adhère à la CGT et j’y apporte mes revendications, c’est maintenant !

La CGT, c’est vous, c’est nous !

 

Pour nous contacter : cgt-central@onera.fr ou 01 80 38 60 39

Pour suivre et participer à l’actualité syndicale (tracts, enquêtes, sondages), abonnez-vous à la newsletter CGT-ONERA.

L’essentiel des infos : https://onera.reference-syndicale.fr/

Vos Contacts ONERA : Délégués Syndicaux CGT Téléphone*
DSC ONERA Bernard TANGUY 05.62.25.26.13
DSC ONERA adjoint Arnaud RISTORI 01.80.38.60.39
DS Châtillon Jean-Michel ASTIER 01.46.73.37.29
DS Meudon Gilles PEUGNIER 01.46.23.51.42
DS Palaiseau
DS Ile-de-France
Arnaud RISTORI
Gilles VIEILLARD
01.80.38.60.39
01.80.38.63.01
DS Salon de Provence  DSC ONERA 05.62.25.26.13
DS Fauga-Mauzac Philippe SIRGANT 05.62.25.63.24
DS Lille  DSC ONERA adjoint 01.80.38.60.39
DS Modane  DSC ONERA 05.62.25.26.13
DS Toulouse Franck MOREL 05.62.25.26.58

* contact mail DSC : cgt-central@onera.fr ou prenom.nom@onera.fr

Site Web CGT : https://onera.reference-syndicale.fr/       Contact : cgt-central@onera.fr

Soyez informé en direct : abonnez-vous à la newsletter du « fil d’Ariane CGT ONERA » : « ici »

 

 

Imprimer cet article Télécharger cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *